Nous connaissons tous les raisons du déclenchement du rire : Histoires drôles, situations cocasses, chatouilles…
Ce que nous savons moins, c’est que le rire fait que l’on fabrique davantage de neuromédiateurs et d’endorphine.
Quand on est dépressif, on ne fabrique pas assez de Sérotonine.
Au lieu de l’acheter sous forme d’un médicament anti-dépresseur, on peut en fabriquer soi-même en riant.
Pour cet autre neurotransmetteur qu’est la Gabapentine.
Plutôt que de prendre un anxiolytique, fabriquez vous-même les molécules anti-anxiété en riant.
Pour booster votre dopamine (comportement, plaisir, motivation) ou l’acétylcholine (mémoire et apprentissage).
Plutôt que de prendre de l’aspirine, riez !
Un fou rire est un rire qui ne s’éteint pas
Le rire est un réflexe, et donc très difficile à contrôler.
A partir du moment où le rire est déclenché, il va persister, s’amplifier et devenir un fou rire.
Dès que ce réflexe est déclenché, notre respiration va changer et nous allons créer une “onde” part des petits muscles faciaux (les zygomatiques) qui va se diffuser dans tout notre corps.
Cette onde à une fréquence qui, par sa vibration, va entrer en résonance avec les personnes environnantes et ainsi, créer un rire communicatif.
Il est presque impossible d’échapper à l’harmonisation de cette fréquence de joie, sans si soustraire, car les lois de l’Univers sont ainsi faites.
Alors, profitons de cette connaissance et de cette aptitude naturelle pour répandre la joie autour de nous, et ainsi, voir s’établir le monde que nous souhaitons.
Nathalie
