La pâquerette

La pâquerette
Photo de Guillaume de Germain

La pâquerette a le mérite d’être non seulement une jolie inflorescence qui embellit pelouses et prairies dès le début du printemps, mais aussi d’être une plante comestible et médicinale.

Tout se mange dans la pâquerette

Les feuilles peuvent se manger en soupe ou en salade. Et l’inflorescence peut se manger en bouton en condiments ou bien fleurie.

La pâquerette est plus intéressante en médicinale. En application locale, elle a une action sur les inflammations de la peau grâce à ses propriétés anti-inflammatoires et adoucissantes.
Elle peut être également utilisée en macérât sur les hématomes ou les douleurs car elle active la microcirculation sanguine et lymphatique.

Elle est aussi dépurative et permet donc, en infusion, d’éliminer certaines substances toxiques.

Enfin, elle peut être utilisée en application régulière sur la peau pour la raffermir.


Recette du macérât

  • Remplir un bocal d’inflorescences séchées et le remplir d’huile d’olive de façon à recouvrir les plantes.
  • Fermer le bocal de façon non-hermétique.
  • Laisser macérer en moyenne trois semaines à température douce à l’abri des rayons direct du soleil.
  • Filtrer et appliquer selon les besoins.

Vous pouvez, si vous le souhaitez, l’enrichir avec de la vitamine  « E » liquide
(environ 0,5 %).

Prenez soin de vous !

Nathalie