Qu’est-ce que la peur ? Elle est la non-acceptation de l’incertitude. Si nous acceptons l’incertitude, elle devient une aventure.
Qu’est-ce que l’envie ? C’est la non-acceptation du bien chez l’autre personne. Si nous acceptons le bien, il devient une inspiration.
Qu’est-ce que la colère ? C’est la non-acceptation de ce qui est hors de notre contrôle. Si nous l’acceptons, cela devient de la tolérance.
Qu’est-ce que la haine ? C’est la non-acceptation des gens tels qu’ils sont. Si nous les acceptons sans condition, cela devient de l’Amour.
Qu’est-ce qui vous empoisonne ? Tout ce qui va au-delà de ce dont tu as besoin est un poison. Cela peut être le pouvoir, la paresse, la nourriture, l’ego, l’ambition, la vanité, la peur, la colère ou toute autre chose.
« Réussir, ce n’est pas toujours ce qu’on croit. Ce n’est pas devenir célèbre, ni riche ou encore puissant.
Photo de Nicole Herrero
Réussir, c’est sortir de son lit le matin et être heureux de ce qu’on va faire durant la journée, si heureux qu’on a l’impression de s’envoler. C’est travailler avec des gens qu’on aime. Réussir, c’est être en contact avec le monde et communiquer sa passion. C’est se coucher le soir en se disant qu’on a fait du mieux qu’on a pu. Réussir, c’est connaître la joie, la liberté, l’amitié et l’amour.
Le Larousse Nom donné au moi conçu comme « sujet personnel ».
Le Robert Sujet pensant – Le Moi
Le CNRTL – Centre National des Ressources Textuelles et Lexicales Sujet pensant en tant qu’unité synthétique à priori des représentations ou expériences.
L’âme selon…
Le Larousse Principe de vie, de mouvement et de pensée de l’homme, différent de l’esprit, conçu comme activité intellectuelle et fréquemment opposé au corps, du moins dans la tradition judéo-chrétienne.
Le Robert Principe spirituel de l’être humain, conçu dans la religion comme séparable du corps, immortel et jugé par Dieu.
Le CNRTL – Centre National des Ressources Textuelles et Lexicales Principe spirituel de création divine, transcendant à l’homme auquel il est uni pendant la vie terrestre comme foyer de sa vie religieuse où s’affrontent le Bien et le Mal.
Devant la pauvreté ou la complexité des définitions proposées, voici quelques suggestions d’approches différenciant l’âme de l’égo.
Photo de Fa Barboza
l’égo est moi, l’âme est nous
L’égo cherche à se servir, l’âme cherche à servir les autres, l’égo cherche la reconnaissance extérieure, l’âme recherche l’authenticité intérieure, l’égo voit la vie comme une compétition, l’âme voit la vie comme un cadeau, l’égo cherche à se préserver, l’âme cherche à préserver les autres, l’égo regarde vers l’extérieur, l’âme regarde vers l’intérieur, l’égo ressent le manque, l’âme ressent l’abondance.
l’égo est mortel, l’âme est éternelle
l’égo est attiré par la luxure, l’âme est attirée par l’amour, l’égo cherche la sagesse, l’âme est la sagesse, l’égo apprécie le prix du billet, l’âme profite du voyage, l’égo cause la douleur, l’âme recherche la guérison, l’égo rejette Dieu, l’âme embrasse Dieu,
Contrairement à ce que certains peuvent dire en ce moment, je ne pense pas que l’on puisse réduire Égo et Âme à cette opposition entre Bien et Mal.
Tout individu a sa structure propre définie par les représentations de lui-même (le Moi) et la connaissance parfaite de qui il est (le Moi profond).
L’âme est constamment en « partenariat » avec l’égo afin que l’individu expérimente la dualité durant sa vie. L’égo permet de vivre cette expérience sur Terre et de prendre soin de soi, et l’âme permet la transcendance de cette expérience vers ce qu’il y a de mieux, tel un guide.
Nathalie
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