Les plastiques

Les plastiques
Photo de James Lee

Chaque plastique est identifié par un numéro qu’on retrouve dans un triangle formé de trois flèches et tous ne peuvent être utilisés pour un usage alimentaire.

Il existe des dizaines de sortes de plastiques

Ils se classent en sept grandes familles et voici où vous pouvez les trouver dans votre cuisine, leur potentiel à migrer dans les aliments ainsi que leur capacité à être recyclés.


Plastique n° 1
Polyéthylène téréphtalate
PET

Utilisations : bouteilles d’eau, de boisson gazeuse, de jus de fruits ou d’huile végétale, pots de beurre d’arachide, contenants d’œufs, emballages jetables, barquettes alimentaires.

Migration dans les aliments : bien que très largement utilisé dans l’industrie des emballages alimentaires et reconnu comme stable, le PET contient des additifs problématiques (trioxyde de diantimoine, phtalates) qui, sous l’effet de fortes chaleurs, sont susceptibles de migrer dans l’eau ou dans les aliments.

Recyclabilité : bonne. Les technologies utilisées dans les centres de tri permettent d’améliorer le tri et le recyclage des contenants et emballages en PET. Les débouchés sont nombreux (bouteilles, fibres de polyester, contenants d’œufs thermoformés, etc.).


Plastique n° 2
Polyéthylène haute densité
PEHD

Utilisations : bouteilles opaques de lait ou de jus, bouteilles d’huile ou de vinaigre, pots de crème glacée, certains sacs d’emplettes.

Migration dans les aliments : parce qu’il est stable et résistant, le PEHD migre moins que d’autres types de plastique lorsqu’il est en contact avec les aliments et les boissons. Faible risque de toxicité.

Recyclabilité : bonne. C’est la résine de plastique la plus convoitée par les recycleurs, selon Recyc-Québec. Comme le PEHD est le plastique roi pour emballer les aliments, il existe de nombreux débouchés de recyclage.


Plastique n° 3
Polychlorure de vinyle
PVC

Utilisations : pellicules plastiques alimentaires, bouteilles d’huile végétale, pots de beurre d’arachide, sacs à lunch.

À éviter.

Migration dans les aliments : selon les auteurs du livre Vivre sans plastique, «le PVC est l’un des pires plastiques présents parmi les produits de consommation».

Recyclabilité : faible, à cause de la présence de nombreux additifs. Renseignez-vous auprès de votre écocentre pour savoir s’il accepte les contenants en PVC.

De nombreux agents chimiques entrent dans sa fabrication (dioxines cancérigènes, phtalates, bisphénol A, métaux lourds) et peuvent migrer dans les aliments plus facilement que dans le cas des autres plastiques.

Pour éviter les phtalates, Santé Canada recommande de choisir des produits dont l’étiquette indique qu’ils ne contiennent pas de polychlorure de vinyle.


Plastique n° 4
Polyéthylène basse densité
PEbd

Utilisations : sacs en plastique, pellicules plastiques alimentaires, pellicule intérieure des contenants de type Tetra Pak, sacs de congélation.

Migration dans les aliments : le PEbd présente des caractéristiques similaires au PEHD. C’est un plastique résistant et stable.

Recyclabilité : faible. Les sacs et pellicules en PEbd peuvent contaminer les chaînes de recyclage. L’interdiction des sacs à usage unique devrait réduire la quantité de PEbd en circulation.

Faible risque de migration de microparticules, d’additifs et de plastifiants lorsqu’il entre en contact avec des aliments ou des liquides.


Plastique n° 5
Polypropylène
PP

Utilisations : biberons, pots de yogourt et de margarine, contenants transparents pour mets préparés, contenants alimentaires réutilisables et adaptés au micro-ondes.

Migration dans les aliments : incontournable dans les emballages alimentaires, il résiste mieux à la chaleur et aux agents chimiques que le polyéthylène (PEHD et PEbd) et entre dans la fabrication de divers dispositifs de fermeture (les bouchons notamment).

Recyclabilité : bonne. Il peut être recyclé plusieurs fois avant d’arriver en fin de vie.

Il fait partie des plastiques les plus sûrs.


Plastique n° 6
Polystyrène
PS

Utilisations : vaisselle jetable en plastique, tasses à café et couvercles, certains contenants alimentaires (d’œufs, par exemple).

Migration dans les aliments : le polystyrène est utilisé pour ses propriétés isolantes (tient au chaud votre café, mais aussi votre maison, quand il est intégré aux matériaux de construction). Paradoxalement, c’est un polymère qui résiste mal à la chaleur.

Recyclabilité : très faible. De nombreuses municipalités Québécoises, comme Montréal, n’acceptent pas les plastiques numéro 6 dans la collecte. Les procédés industriels de recyclage ne sont pas très développés et il existe peu de débouchés.

À température élevée, il libère du styrène, une substance qui pourrait augmenter les risques de cancer.


Plastiques n° 7
Résines, Mélamine, Latex, Mousses, etc.
PC, PTFE, Mélamine, etc.

De nombreux plastiques entrent dans cette catégorie. Parmi eux: le polycarbonate (PC), des résines époxydes, le téflon (PTFE), la mélamine ou encore la famille des caoutchoucs (latex, mousse néoprène).

Utilisations : bonbonnes d’eau (PC), revêtement intérieur des conserves alimentaires (résines époxydes), poêles, casseroles et moules de cuisson (téflon), vaisselle (mélamine), tétines pour bébés (caoutchoucs naturel et synthétique).

Migration dans les aliments : le polycarbonate a été retiré de nombreux produits qui entraient en contact avec les aliments ou l’eau (gourdes d’eau), car il contient du bisphénol A, un perturbateur endocrinien reconnu.

Recyclabilité : en général, très faible, en raison notamment de la présence importante d’additifs.

Le PC est toujours utilisé dans la fabrication des grosses bonbonnes d’eau.
Le téflon, quant à lui, peut migrer dans les aliments lorsqu’il est chauffé.
Le caoutchouc naturel est sûr (sauf si vous y êtes allergique).
Les caoutchoucs synthétiques, par contre, contiennent des plastifiants (nitrosamines) qui sont suspectés d’accroître les risques de cancer.


Sources : Recyc-Québec, Vivre sans plastique, Association canadienne de l’industrie des plastiques, INRS (France).

Le Persil

Très riche en vitamine C, il est excellent contre l’acné, l’anémie, l’eczéma et l’enflure.

Le persil
Photo de David Todd McCarty

Il possède des propriétés laxatives et pectorales

En usage interne
(Par décoctions de racines fraiches ou séchées)
Comme laxatif et contre les infections hépatiques. Absorbé à jeun et dans du lait, le suc de feuilles de persil est un expectorant utilisé contre l’asthme et les bronchites chroniques. L’infusion de graines, quant à elle, est utilisée contre la jaunisse et l’absence de règles.

En usage externe
(Par compresses de feuilles de persil froissées)
Pour soigner les piqûres d’insectes. On applique aussi des cataplasmes de feuilles broyées sur les contusions. La décoction de persil peut être utilisée en lotion, le matin et le soir, pour éclaircir le teint et nettoyer la peau du visage.

Source : Le dictionnaire illustré des plantes médicinales

Une nouvelle intelligence ?

Selon certains psychologues, il existerait quatre types d’intelligence :

1) – le quotient intellectuel (QI)

2) – le quotient émotionnel (QE)

3) – le quotient social (QS)

Le QI mesure votre capacité de compréhension, de résolution de problèmes mathématiques, de mémorisation et de rappel de sujets.

Le QE mesure votre capacité à maintenir la paix avec les autres, à respecter l’heure, à être responsable, à être honnête, à respecter les limites, à être humble, authentique et prévenant.

Le QS mesure de votre capacité à construire un réseau d’amis et à le maintenir sur une longue période de temps.

Le QE et le QS
permettent de mieux gérer les situations
que le QI 

Un homme au QI élevé peut finir par être employé par un homme au QI moyen mais aux QE et QS élevés.

Une nouvelle intelligence ?
Photo GR-Stocks

Maintenant, il en existe un quatrième :

4) – le quotient d’adversité (QA)

Le QA mesure votre capacité à traverser une période difficile dans la vie et à en sortir sans perdre la tête. Il détermine qui va abandonner face à l’adversité.

« On mesure l’intelligence d’un individu à la quantité d’incertitudes qu’il est capable de supporter ».

Emmanuel Kant

Ne cherchez pas à ce que vos enfants aient seulement un QI élevé, mais soutenez et renforcez leurs QE et QS. Ils représentent leur caractère et leur charisme.

Exposez-les à d’autres domaines de la vie que les études… au travail manuel, au sport et à l’art, par exemple.

N’utilisez jamais
le travail
comme punition !

En développant davantage leurs QE, QS et QA, ils deviendront des êtres humains capables de faire de grandes choses.

Ne tracez pas leur chemin mais préparez-les pour le vivre.

Nathalie

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