La bataille entre le bien et le mal à laquelle nous assistons en ce moment ne se joue pas seulement sur le plan physique mais elle se joue également sur un plan beaucoup plus subtil, lié au domaine cognitif.
Il ne s’agit pas seulement de véhiculer certaines idées ou comportements, mais de modifier la cognition – d’influencer le processus par lequel nous arrivons à des idées, des intuitions, des croyances, des choix et des comportements.
Je vous invite à lire ou relire l’article sur l’ingénierie sociale que j’ai publié le 8 novembre 2020.
Depuis plus de deux ans, une tournure inattendue de nos vies s’est mise en place, déjouant nos plans pourtant murement réfléchis pour grand nombre d’entre nous.
Au premier abord, d’une manière générale, nous nous laissons aller dans un sentiment de désarroi face aux circonstances que rien ne laissait présager.
Puis, par la suite, certains d’entre nous continuent de vivre très mal les changements imposés par le destin. Le fait de voir leur désir déjoué leur est insupportable et ajoute un obstacle à leur équilibre déjà fragilisé.
D’autres en revanche, malgré les obstacles qui apparaissent sur leur chemin, s’adaptent avec plus ou moins de facilité en fonction de leurs caractéristiques personnelles, aux événements inattendus qui surgissent. Face aux alléas, ils vivent les détours comme de nouvelles aventures, se laissant porter sur le chemin des synchronicités et des surprises que nous réserve la vie.
Pour les premiers, l’inattendu se passe dans la douleur, les forçant à modifier le cours de leur vie. Pour les seconds, le changement est vécue dans un esprit de créativité, et de progression personnelle, apportant son lot d’événements toujours plus intéressants, rendant souvent le quotidien plus palpitant.
Ouvrez-vous à l’inattendu, vivez votre vie comme une aventure et vous laisserez entrer dans votre existence le meilleur de la vie.
Nathalie
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En complément de l’article « Les exosmoses », que j’ai publié le 7 août 2021, j’aimerais ajouter ceci :
Indifférent à l’ambition personnelle, Antoine Béchamp était modeste et confiant, sincère et enthousiaste, pénétré de l’idée du devoir, de la recherche et de la vérité… et de la nécessité de la dire.
Louis Pasteur, lui, était un homme médiatique, franc-maçon, arriviste et sans scrupule, génie de la publicité et des relations publiques.
En 1900, Béchamp s’était un jour indigné en ces termes :
« Je suis le précurseur de Pasteur comme le volé est le précurseur de la fortune du voleur heureux et insolent qui le nargue et le calomnie »
Pourtant, sur son lit de mort, Pasteur aurait reconnu la pertinence des travaux de son rival en énonçant cette phrase célèbre :
«Béchamp avait raison, le microbe n’est rien, le terrain est tout»
Nathalie
Si vous souhaitez en savoir plus sur Antoine Béchamp et sa théorie des « Microzimas », je vous invite à lire ou relire l’article « Origine de la Vie », publié le 9 février 2021.